Semaine 3 3.1

Prison à vie pour des ados reconnus coupable de meurtre

Stephen Harper a de grandes idées en ce qui attrait aux jeunes. En effet, Mr. Harper a annoncé, au début de sa troisième semaine de campagne que s’il était réélu, il abolirait la loi qui protège les jeunes qui font des crimes. Il la remplacerait par une loi plus sévère. Un adolescent de plus de 14 ans qui commet un crime grave comme un meurtre ou une agression sexuelle grave pourrait être condamné à vie. Il promet des peines plus sévères et il permettra aux juges de donner les noms des criminels. En faisant cela, il vise à faire diminuer la criminalité et a protégé la société des criminels. Il croit aussi qu’en imposant des sentences plus sévères, les jeunes seraient moins tentés d’enfreindre la loi.

Plusieurs chercheurs se sont penché sur la question et constate que s’il y a abolition de la présente loi et que les peines devienne plus sévères, il y a plus de chances que nos jeunes criminels deviennent des criminels encore plus durs. Stéphane Dion et Gilles Duceppe sont de cet avis. Ils penchent plus pour la réhabilitation. C’est jeunes là on besoin d’aide.

Pour aider à sa campagne, Stephen Harper a voulu prendre les citoyens par les sentiments. Il a rencontré Teresa McCuaig. Cette femme, dont le petit-fils a été assassiné, s’est confié devant les caméras, «Aujourd'hui, vous nous donnez un peu d'espoir, et cela signifie beaucoup, pour nous, d'être entendus». Plus tard, en conférence de presse, Mr. Harper a confié n’avoir aucune compassion pour les auteurs de crimes peu importe les conditions de vie dans lesquelles ils avaient vécus : «Je dois être très clair à propos de ça, je peux ressentir terriblement de sympathie envers ces personnes, mais lorsque quelqu'un assassine, viole, bat ou tue, rien de tout ça n'excuse ce genre de comportement». Stephen Harper souhaite être réélu pour lutter contre la criminalité.

                                                                                                            

                                                                                                                   Stephen Harper durant un
                                                                                                                                                  discourt

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